Le Centre de réadaptation en déficience intellectuelle est l’ancien nom d’une subdivision du CISSS (Centre Intégré de Santé et Services Sociaux), une institution médicale québécoise qui doit énorméments d’explications. Le CRDI compte aussi des secteurs comme l’ARSDI (Association de la Rive-Sud pour la DI) ou le SRSOR (Services de Réadaptation du Sud Ouest et du Renfort). Nom plus long existe aussi, le CRDI-TED. (TED = Troubles Envahissants du Développement).
Je réalise que je n’ai jamais eu l’autisme ou n’importe quel des “diagnos” du dossier de mon identité “légale” fictive sous peu importe forme.. j’ai brûlé tous les contrats, et que mes fragmentations psychologiques furent causées par une interférence d’opération neuropsy style MK ULTRA durant une hospitalisation pédiatrique, et voilà que chaque jour, un pédiatre qui ne comprend peu de ces diagnostics et de la vraie nature de notre peuple, jette le sort du faux cas sur une proie de plus.. c’est sans cesse exactement comme la discrimination médicale de toutes les institutions psycho. Je les compare facilement aux institutions de culte comme SYNAGON, WAASPS (un groupe d’organismes américains, cultes baptistes croyant corriger des ados “corrompus” par la violence, les camps de concentration et l’indoctrination religieuse dans des foyers de groupe depuis les années 1960), et ce sont des territoires fertiles aux consciences narcissiques et sociopathiques de perpétuer leur essence virale et se produire des paradis personnels pour le pouvoir et l’adrénaline. Et quand je dit adrénaline, je dis aussi adrénochrome. Je suggère que l’on commence à regarder sous nos pieds plutôt qu’au ciel, sur les culs ou devant un cell
Le département pédagogique du CISSS
Dur pour la dyslexie, ça. Par expérience, les acronymes changent toujours. Quand j’allais au secondaire, les classes spécialisées avaient changé de TED à TSA, et en 2018 presque tous les acronymes ont changé dans certains secteurs et commissions sélectivement pour..
ESDSSC. Enseignement spécialisé pour le développement social et de communication. Ils ont aussi tenté de rendre “TC” moins direct et effrayant parce que ça donne une connotation de stérétype délinquant ou du genre “pat’nais de centre avec le chignon laite s’a tête qui fait du skate”, un stéréotype VRAIMENT Rive-Sud du Québec ou j’ai grandit ma vie. Mais ça faisait des décennies, années qu’on utilise ce terme créé par l’industrie psychiatrique. Troubles du Comportement.
What?? On dirait que ceux qui font les administrations ont un toc pour le culte de la revise sociopolitique du classisme socio-ergonomique, et la pédanterie des acronymes et des noms méticuleux… grosse big pédanterie.. j’ai déjà connu ce toc puisque j’étudies la biopsychologie, loule (ces programmes scolaires en entier, je les voyais presque solide comme des “séquestrations sociales pour l’attardement et le nonconformisme”)
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Et je n’oublie pas le CFER, le FMS, le FPT, les FA, les TC, toute la gang que j’ai croisé malgré la gêne sociale adolescente puissante que je portais sur mes épaules. Des acronymes et des acronymes. Tout ce qye je voyais c’était encore un système de cultes et pédagogies qui ont plein de profs et idées la tête dans le sable.
Surtout les TCs. Dans mon livre de la vie, ce sont que du real people, qui ont vu trop vite au travers des lunettes “They Live” et sont nés des rebelles anarchistes. Super incompris et traumatisés grosso modo.
Résumé commentaire des programmes par expérience:
DI: Déficience intellectuelle. Probablement les plus “intelligents” de la gang, sans s’en rebdre compte.
TSA/TED/EITSKYSOGSKchepakoa: Programme adapté à l’autisme. Pur et simple. Tout ce qui parait “autistique”. Parce que je devrais dire que 1/4 des jeunes là dedans n’ont même pas assez de traits explicable, et leurs diagnos sont vraiment vieux et obsolètes mais encore utilisés, ou créés par une opération MK UKTRA neuropsychologique. Beaucoup de ces groupes sont un Hades cahuté collectif infernal à supporter et sont infantilisateur. Y’on beau réformer. Et l’inclusion est parfois controversée parmis les commissions au QC.. Pas leur forte. J’ai vu presque tout ce qui se passe sous le soleil des services z’otisste. Ou la lune, plutôt.
TC: Des anarchistes, du vrai monde, marginalisé à cause de leur désillusionnement radical face à l’autorité. Ils n’ont pas réussi à faire le processing de la rage et des feelings qu’ils ressentent face aux bêtises du système. Certains sont juste “encadrés” pour des riens, des motifs ouvertement conspiratoires du gouv. I
Ceux qu’on appelle “troublés” voient plus la matrice comme elle est réellement. Je ressentais vraiment un clic puisqu’ils mirroitaient une partie de mon ombre, mon “darker side”. Avec ma personnalité “indigo” c’est ce qui convoquait à m’ouvrir plus hormis cette timidité sociale lourde de l’adolescence. Je suis né rebelle face à la matrice. La différence est une question de colère face au contrôle, d’histoire de maltraitance (souvent narcissogène) et de rôles exemplaires, factions socio-économiqies, et l’énergie de leur ADN. Et de consommation. Une partie refoulée de moi rêvait même d’avoir été dans une classe de ce genre parce que c’est une énergie qui me touchait tellement, on dirait que j’ai reconnu une fam. On se comprennait plus sur un niveau émotionnel. Ce fut aussi en raison que j’ai été exposé à des environnements colériques trop longtemps pour les “transmuter” sans le savoir.
Je l’ai eu, mon wish. J’ai fréquenté l’école le Tremplin au centre jeunesse de Chambly pendant quelques semaines.
L’école le Tremplin, c’est l’une des rares places où je me sentais plus léger. Un peu. Mais on n’avais qu’une seule période ordi libre par semaine.
TRP: OK, what is it doing here? Je me demande ce qu’est ce nouveau acronyme. Est-ce un groupe de cas qui se retrouvent nulle part? On m’a parvenu que ce sont habituellement des “troubles anxieux” qui sont présents. À Polybel, mon groupe avait un “suivi parallèle” dans notre cubicule qui ressemblait à du mini-TRP isolé pour des élèves du régulier. Y’avait une fille qui venait souvent appeler sa mère parce qu’elle avait un problème de crises de panique sociale et elle ne se désincrivait même pas de ses cours de théâtre, LA chose qui lui causait de l’anxiété. La performance publique. et quand on lui refusait un appel, elle allait délarmer sa vie dans le cubicule d’isolement. C’est un autre exemple de mon point sur la coupure brutale des liens symbiotiques. Ça devait être dans son PIE.
FA: Apparemment c’est juste un programme de redoublure et rattrapage. Vraiment juste ce type là. Et ça faisait tellement de bruit.
FPT/FMS: Les vrais acronymes pour FPMT et FMSS. Avec leurs acronymes, ya de l’accro. What is going on? Eux-zaute, c’est quand t’as plusieurs années de rattrappage. Soit t’as pas encore finit son secondaire 1 ou 2 depuis belle lurette, ou t’as même pas terminé le primaire. Les deux programmes ont des cours de stage juste pour t’apprendre à te mettre sur le disability check pi te rendre un “asset productif pour le marché du travail”. Et ça rend heureux d’un maigre taux de revenu.
Le TRP, c’est la chose scolaire au Québec qui ressemble remotely à des adaptations pour hypersensibles autre que du TSA. Mais même là..
chez les TSA, un vrai empathe hypersensible s’écroule vite, TSA ou pas. Le drama est trop intense. Surtout un empathe anxieux et traumatisé. Voici la raison que j’ai créé le projet lemuryk: y’a rien d’autre sauf l’Association des Hypersensibles en France et je me lance pour la protection des droits souverains et libertés d’expression spirituelle de ma communauté au continent OPPOSÉ.
Mais évidemment, cette histoire de TC fut une passe dans mon processus de recherche d’identité adolescente.
Programme, programme après programme. Des tocs et de nouveaux tocs bureaucratiques. Et on nous demande pourquoi on décroche et tournons vers la débaucherie. À nos yeux ce n’est que de la prison, une asile, et des tentatives loufoques de nous briser puis nous ‘réparer’ et nous contrôler. La matrice 3D, ce fut une prison énergétique programmée.
J’ai déjà dis que “les patients sont les meilleurs investigateurs”.
La gestion des placements et l’organisation est si loufoque et démesurément inattentive que l’École Polybel avait réussi, vers 2018, de placer CINQ classes TSA/ESDSC collées dans une aile comme l’équivalent de deux 2 1/2 collés ensemble, des plus “légers” aux plus gros handibaveux hardcore qui n’ont aucune concrète auto-conscientisation et sont complètement gelés du monde externe. Un an et demi plus tard, j’ai appris qu’ils ont fermé mon ancienne classe 974 en raison d’inadaptation. Impossible de se concentrer parmis les stims et le drama des voisins ni celui avec “le scapegoat” de chaque groupe. J’étais dans le groupe le plus léger et juste à droite du groupe autistique le plus handicapé. Donc, même fermer la porte ne suffisait pas, ni avec les tics du scapegoat du groupe. Et par les bruits des voisins, toute l’année, nos oreilles ont mémorisé tout le vocabulaire utilisés par les talentueux écholaliques, la seule chose que qu’on a réellement “appris”. “ON EST AAAHA-AH-AH-AH-h!!” “CA VA PAH SE PASÉ COM SA!!” “OOOOOWWWHH!!” après trois ans, ces sons encores gravé dans ma mémoire. Et non si vividement les bases des maths ou de l’histoire du secondaire 3, peut être subconsciemment.. On a appris!! Ils devraient enseigner..
C’est la dernière fois que j’ai fréquenté l’école mainstream. À 16 ans, tu as la porte de l’éducation aux adultes ouverte. Mais j’ai eu des conflicts personnels avec la DPJ qui ont stoppé ma scolarisation à jamais. Les placements ont commencé. Tant mieux si je retourne plus dans ces prisons dégénérées qui ont failli tous avoir du 5G! Trois ans school-free!! J’ai déjà trouvé ma carrière permanente pour cette vie sur Terre: du caregiving, guérison holistique et admimistration/gestion de ressources humaines “indigo” et quelques projets exopolitiques. Oui, à 18 ans. Je fais du “travail de lumière”. Je contacte des intelligences galactiques. Aucun diplôme nécessaire.
Foyers et résidences en détresse perpétuelle: “ça dégénère”
Je trouve perso que l’interférence de la DPJ dans la CRDI, est la plus grande source des problèmes de son bord. J’ai vécu assez longtemps dans la martyrisation systématique de la DPJ et la CRDI et je réalise que les infrastructures et sécurité des centres jeunesse, comme le centre jeunesse de Chambly (allo les gars, Prologue été 2018), sont plus sécuritaires que la majorité des résidences intermédiaires de la CRDI qui eux ne sont que d’anciennes maisons pour personnes âgées dont les infrastructures ne sont pas conçues pour la violence de force d’un adolescent en pleine croissance qui a probablement déjà tabassé quelqu’un solide ou s’entraîne.
C’est notamment le cas avec la résidence du programme qui m’a donné “la nuit sombre” pendant 2 années consécutives. C’est là où, malgré la rigidité psychiatrique de ses intervenants, j’ai vu des horreurs que seuls ceux qui fréquentent des foyers de groupe chaotiques connaissent. D’où vient le scandale des “Résidence à assistance continue”. Le programme qu’on m’a inscrit j’y ai passé dans sa RAC de Longueuil originale un ~2-3 mois, un autre ~2 mois et un dernier un mois. Juste deux semaines c’est affolant. En 2019 la DPJ a réannexé les locaux et avant 2012, ce fut une RAC de la DPJ régulière avant d’être acheté par le CRDI. Tout le network est fragilisé et non que les RACs.
La majorité des intervenants avaient des intentions réelles de contribuer pour nous, mais les outils, les connaissances, et le côté “neurotypisme” de leur monde créait beaucoup de barrières de communication et compréhension, ainsi que l’envahissante emphase de racisme dans la DPJ et la CRDI. (je ne supporte pas le mot neurotypique.. ya pas de normal et je trouve ça extrêmement divisif)
Mais une fois que tu mets un pied dans la société du système de (dis)services sociaux, personne n’est 100% de confiance. Personne. Les recherches avant de jouer dans le sable et inscrire un prochain “martyr”, c’est plus important que jamais. Ce sont les idéologies et intentions de n’importe qui dont tu peux facilement trébucher dans un piège. Et c’est la tâche la plus difficile que j’ai appris de se démêler de ces noeuds et rendre justice. J’ai jamais eu de justice “directe” pour les opérations psychologiques criminelles de la part des intelligences “archoniennes” que l’on m’a fait. Ni en cour. Je m’y suis même présenté. Tout ce qui est justice, c’est notre unité et solidarité historique depuis le début de la pl4ndémie. Je ressends que c’est le cas pour énormément d’Âmes sur Gaia.
L’abandon parental arrive aussi dans la CRDI et pas seulement la DPJ. Mon frère, par exemple. Il ne voit plus sa mère depuis ce que j’ai vu la dernière fois. Et Je dis SA mère, parce que maintenant je sais qui est MA vraie momma.
Résumé des failles que j’ai vu chez le CRDI:
- Les interventions des TS de la DPJ et les placements
- Placements physiques (x1000) impulsifs, ils ne veulent juste pas te connaître assez bien avant de te placer même quand j’ai protesté mes traumatismes précédents. À l’école et en foyer/centre. Seul deux policiers ont écouté mon plead en Fév. 2020.
- Le fait que les programmes peuvent punir en privant 100% le moindre contact familial même par appel quand c’est un outil crucial pour le développement émotionnel à moins qu’il y ait des abus par le parent et que le jeune DEMANDE un interdit de contact direct. selon moi, couper le lien symbiotique “parce que”, pour “donner une leçon”, sans mandat justifiable de gestion ou cause de contrat PROUVÉ de protection de contact dans leur PI (plan d’intervention) ni la connaissance de la conséquence affective à long terme sur l’attachement parent/gardien-enfant est inacceptable. Je connais des parents qui contestent cette méthode. Toute restriction de contact, je crois ça devrait être constaté et prouvé dans un PI et raisonnable, demandé par le gardien/parent et le sujet s’il peut y consenter à participer en la décision (parce qu’un enfant en bas de l’adolescence ou une personne qui a des facultés limitées peut pas toujours y choisir!..),. Mêmes concernant les contacts amicaux et les intérêts plus “romantiques”. Je connais aucun cas de coupure de contact symbiotique punitif de surface qui a “appris” à un jeune de quoi de confiant dans un environnement confiné par la DPJ où il vit sans sa famille. Même des adultes régresseraient.
- L’organisation pauvre de nombreux programmes, surtout quand on change l’équipe entière, bravo pour avoir congédié une équipe déjà stricte et formée post-relocalisation
- Les infrastructures et le pattern “elderly home real estate!”
- La jolie discrimination médicale comme toutes les vieilles institutions médicales le font
- “Underfunded“, no really?
- L’infantilisation
- Les lacunes de ressources, ou mentir sur le nombre de ressources
- Nous répéter qu’on a un problème quand le système de la matrice 3D nous casse par exprès et nous forcer de nous “réparer” par des méthodes de brainwashing, la culpabilité, le handicap illusoire ou exagéré, et par le conditionnement comportemental (beaucoup font semblant de changer juste pour quitter plus vite, mais ça peut durer a long while quand même)
- TENTER DE RESTREINDRE ET CONTRÔLER NOTRE SENS D’IDENTITÉ (comme d’habitude)
Les raisons que je voit le CRDI aussi borné que la DPJ, la CPS et la DARPA sont tous inscrites sur cet article, mais y’en a plein de raisons non mentionnées. Presque rien ne change radicalement sauf les classifications.
Et je déconseille Polybel, école du Grand-Coteau, et les classes TSA si vous avez un enfant hypersensible qui veut rien savoir des étiquettes et de vivre dans une asile. Oui, je me permets de le dire à cause de ma lourde expérience. Le cycle est pareil chaque année dans chaque école. Le monde des programmes TSA c’est comme une asile psychiatrique. Mais l’école en entier, ça va limite dans cette ambience également. Des cas plus spéciaux existent. Avec le ségrégationnisme (non inclusivité) psychiatrique des groupes TSA et DI à l’école, les séquelles sociales sont handicapantes: des habiletés sociales moins développées, l’ignorance du monde autour de toi. Quand j’ai eu une chance d’aller en Anglais au régulier en cours de secondaire 5, un gars m’a nommé les noms des gars les plus populaires de l’école et je connaissait pas un seul. Pas un seul. J’avais déjà une asile partiellement isolée du reste du monde à supporter. On était en 40-taine même avant la cv. On a toujours été en 40-taine.
https://www.lesoleil.com/chroniques/mylene-moisan/je-ne-souhaite-ca-a-personne-b55caae4b8dcd25f306a8d9d57d279bb (problèmes de placements)
(attention à la désinfo)